Quelques achats : courroies et disques à tronçonner en particulier, puis reprise du travail. Le positionnement du premier compresseur, toujours par pinces étaux, est soigneusement réalisé, en vérifiant alignements et position axiale. Le calcul était juste : la formule magique a fonctionné. |
||
Le brin inférieur est vérifié de la même façon. Le compresseur est placé aussi bas que possible, tout en veillant à ce que la courroie n'interfère ni avec le boîtier de direction, ni avec l'axe de la pompe à eau. La position trouvée expérimentalement correspond à peu près exactement à celle du compresseur monté sur les véhicules équipés de cette option. Dommage, ça va se bousculer au dessus. |
||
Une fois la bonne position obtenue, l'ensemble est déboulonné. | ||
L'alignement du compresseur sur son support est peaufiné au pied à coulisse, à l'aide de deux piges : une cornière et un fer rond de 10 mm passé dans des oreilles libres du compresseur. | ||
Après soudure légère, tout est remis en place, et la courroie est tendue par simple serrage des boulons de fixation. Le dispositif de maintien de la tension sera réalisé plus tard, sur le support définitif. | ||
Le deuxième compresseur est posé ainsi que sa courroie, pour voir. | ||
La position vue plus haut pour le deuxième compresseur ne sera pas retenue. La courroie très courte pose problème pour le système de tension. Ce sera plus facile en recentrant le petit compresseur. L'accès au bouchon de niveau du Sanden et à ses valves de remplissage sera grandement facilité. De plus, les efforts subis par les supports seront mieux équilibrés. Le capot ferme correctement sans toucher, avec au moins 10 à 15 mm de dégagement au dessus. Sans body lift, la mise en place du deuxième compresseur serait peut être problématique. |