Premiers essais des nouveaux outils.
La perceuse est couchée afin d'y fixer le piètement confectionné la veille. | |
Elle est relevée, puis installée à son emplacement définitif. Le piètement est boulonné au sol. | |
Le mandrin est un modèle de douceur et de précision : ce sont celles d'un objectif photographique. Un régal à manipuler. Aucun jeu. Le cône Morse permet d'étendre la gamme d'outils utilisables. En particulier, il sera possible d'utiliser des forets jusqu'à 32 mm de diamètre. |
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Le plateau sur lequel vient se placer l'étau est pourvu de gorges périphériques permettant de récupérer les copeaux. Pratique. Essai avec un foret de 14 mm qui mettait toute la maison en branle avec la précédente perceuse. Stupéfiant. Aucune vibration. Quand je dis aucune, c'est aucune ! Et le foret qui peinait attaque désormais l'acier comme si c'était du beurre. Un régal. |
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Essai du touret. Tout d'abord, ses 350 W, par rapport aux 200W de l'autre, changent tout. La brosse : rien à dire. (elle peut être remplacée par une meule) |
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Séquence comique : le flexible. 3000 trs/mn. Avec ça, on ne peut absolument RIEN faire. Il faudrait un overdrive 1:5 au moins, ou mieux 1:10. Mais étant donné sa construction, il serait instantanément satellisé. | |
La meule à affûter. L'engin a été acheté surtout pour cela. OK. |
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OK également, et pratique. | |
Idem. | |
Idée en passant : plutôt que d'occuper de la place sur un plan de travail déjà encombré, un de ces établis-étaux à bas prix que l'on trouve régulièrement en promo fait parfaitement l'affaire. Il suffit d'y boulonner le touret. | |
Seul bémol, l'accouplement en nylon... Le reste par contre, à l'exception du flexible, inspire confiance. Il s'agit de matériel amateur, et non de matériel professionnel. Il faudra voir à l'usage... |