Bloc-notes - 13 octobre 2005

Support moteur.

	De ce côté du moteur, soudure directe de la plaque intermédiaire sur celle fixée au moteur.
	De l'autre côté, il y a un porte-à-faux d'une dizaine de centimètres (nécessaire à cause de la pompe d'injection, et de sa fixation). Il faut quelque chose de solide.
	Au moment de commencer à mécano souder un bras, un reste de cric rouleur se met à faire un clin d'oeil...
	Il faut en couper un morceau.
	Ce morceau convient parfaitement. Moteur à l'horizontale.
	Face arrière vers le haut : idéal pour travailler sur le volant moteur.
	A l'envers : idéal pour placer le vilebrequin, travailler sur les paliers intermédiaires, sur le clapet de décharge, le carter d'huile, la crépine, les chapeaux des bielles.
	Face avant en haut pour la pompe à huile, la pompe à vide, le calage de la distribution, le couvercle avant.

Il y a encore un peu de travail :

l'assemblage et le soudage ont été faits à l'arrache, à l'oeil et au pif, sans réel bridage. Il y a donc quelques défauts d'alignement qui font que la rotation se fait en frottement un peu dur (ce qui lui permet d'ailleur de garder son orientation !). Le défaut d'alignement entre la droite et la gauche quand on boulonne le moteur sur les bras est d'environ 5 mm. L'élasticité de la structure en "carré" de 60 x 30 x 3 mm permet cependant de le fixer sans réelle difficulté. Il faudra passer un coup de chalumeau pour améliorer la situation en "détendant" le métal.
il faut percer paliers et fusées selon deux axes perpendiculaires pour y placer des goupilles immobilisant le moteur en rotation.
peinture