Nettoyage des chemises et découverte de l'origine d'une fuite très ancienne du liquide de refroidissement.
Nettoyage soigneux des chemises, et en particulier :
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Arrivé à la chemise n°1, surprise. La cale était mal montée, et présente un pincement. Possédant l'historique complet de ce véhicule depuis sa sortie de concession, cette faute a obligatoirement été commise lors de l'assemblage dans les usines VM Motori. |
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La cale n'est pas récupérable : le métal est coupé. Elle était pincée. | |
Et l'origine d'une fuite agaçante est enfin comprise. En haut du bloc, de l'humidité apparaissait systématiquement 5 jours après chaque utilisation du véhicule et refroidissement du moteur. Juste de l'humidité. Jamais de baisse de niveau, ni même une goutte au sol. Liquide propre, pas de surpression. Aucun appoint n'a jamais été nécessaire. La source se situait entre culasse 1 et culasse 2, sans que le joint de culasse semble être en cause (et il ne l'était pas). La zone pincée correspond précisément à celle d'où provenait cette infime quantité de liquide.
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Cette humidité m'avait amené à ajouter, de guerre lasse, après un resserrage des culasses, une dose de produit anti-fuite dans le bocal d'expansion . Cette mélasse commercialisée par Wynn's avait formé un bouchon, obstruant un des conduits vers la culasse 3, et avait abouti à un claquage du joint suite à une surchauffe (indécelable car la température est prise sur la culasse 4). Tous les résidus trouvés hier dans le bloc, évoquant de la poudre métallique, s'avèrent, une fois secs, être en fait les restes de cette saloperie. J'en avais, à l'époque - mars 2004 - retrouvé également en quantité dans le corps de la pompe à eau. Le radiateur devra faire l'objet d'un nettoyage extrêmement soigneux, il en va de la santé du moteur une fois remonté. C'était la première fois que j'utilisais ce type de produit, par flemme, mais avec une certaine méfiance. Ce sera la dernière. Produit anti-fuite = produit à fuir. |