Ouverture d'un Terratrip 303+ pour voir (avec une idée derrière la tête).
Ouverture du terratrip 303+ pour voir ce qu'il a dans le ventre, et quelles bidouilles pourraient être effectuées.
Un Terratrip 303+, avec son afficheur secondaire. | |
Au dos, le connecteur. Détail amusant : l'adresse mail Compuserve avec ses chiffres caractéristiques. Ça nous ramène une bonne douzaine d'années en arrière ! |
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Identification claire des broches du connecteur. Plus utile que ce que l'on peut lire dans le manuel ! | |
Après retrait des quatre vis, dont une sous la "capsule de garantie", il s'ouvre comme un livre. Ça sent l'artisanat à plein nez. Soudures baveuses, avec autour des traces de décapant : tout est assemblé à la main, le soir à la veillée. Les "usinages" du boîtier autour des interrupteurs permettaient d'ailleurs de s'en douter. | |
Le circuit d'affichage avec son contrôleur. | |
L'afficheur à cristaux liquides, avec de part et d'autre les modules d'éclairage. | |
Quatre vis retiennent la platine principale. Le but de l'opération est d'avoir une idée de la conception. |
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Le grand circuit intégré au centre est un microcontrôleur 8 bits Intel P8049. C'est le coeur du système. Le composant rond et blanc est un buzzer. A sa gauche se trouve un 7405, qui est un régulateur intégré 5 volts. A droite, un autre gros circuit : une PROM 27C256 qui contient probablement le microcode. Il y a quelques circuits intégrés annexes :
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Le but de ce démontage était double :
Longentemps sans bidouiller d'électronique, mais pas trop dépaysé. Je viens de me remettre à acheter Elektor, après 20 ans sans en ouvrir un.