Dépose de la tête, du bélier et de la tourelle.
La dalle est coulée. Elle devra durcir au moins un mois avant d'y poser les 1250 kg de la fraiseuse. | |
La tête, dont la forme et la conception sont caractéristiques de ce genre de machine. | |
Le moteur est déposé. | |
Puis le carter des poulies. Il est en aluminium, et sera lui aussi poli plutôt que repeint. Accès à la poulie synchrone réceptrice du harnais. Conception identique à celle des Bridgeport. |
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Le système de harnais / inversion de sens est déposé. L'arbre cannelé qui dépasse est caractéristique des perceuses fraiseuses. | |
Vue sur le fourreau de broche et sur le mécanisme d'embrayage de descente automatique. Une roue creuse est approchée d'une vis sans fin (non visible) faisant partie du grand pignon du harnais. Le mouvement est ensuite transmis à l'arbre primaire de la boîte de descente grâce à un renvoi d'angle à pignons coniques. Pas mal de graisse, dont une bonne couche de graisse blanche totalement sèche. La pignonnerie est en parfait état car correctement graissée. Mais l'aspect pouvait engendrer quelques inquiétudes ! |
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Séparation du balier et de la tourelle. Le bélier est assez lourd. Au moins une centaine de kg. | |
La tourelle. Un peu d'oxydation, mais pas sur le pignon ni sur les glissières. La couleur brune est simplement celle de la graisse ou de l'huile gommée. Cette pièce se manie sans problème : elle n'est pas très lourde. |
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Les sous ensembles déposés aujourd'hui. | |
la pièce de jonction entre bélier et tête. Elle pivote dans le plan yOy'. Malheureusement, le pivot n'est pas démontable : il est serti, contrairement aux Bridgeport. Ceci ne facilitera pas l'application d'une nouvelle couche de peinture. |
Discussion sur usinages.com : Arrivée de mon Induma à tourelle / page 8